« Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. » (Jean 8:36)
Il y a, dans ce monde, des protestations lorsque l’on touche aux libertés individuelles. Et avec tout ce qui se passe en ce moment, il y a bien des cris à cet égard. Les autorités demandent une chose, certains obéissent, d’autres protestent. On veut la liberté !
Mais, sans s’en rendre compte, les événements que nous connaissons aujourd’hui ne sont qu’un faible prélude à ce qui va bientôt se produire dans ce monde. Après que l’Assemblée aura été enlevée « à la rencontre du Seigneur, en l’air » (1 Thessaloniciens 4:17), ce monde connaîtra un bref moment de calme relatif ; peut-être dû à la stupeur de la disparition de ces millions de chrétiens. Mais cela va faire rapidement place à l’épée, la famine, la mort, et, afin de reprendre le contrôle sur cette anarchie, une puissante dictature va s’élever et imposer avec une main de fer terrible son autorité implacable. Il n’y aura plus place à discussion : toute opposition sera violemment écrasée. Il n’y aura qu’une voix à écouter et qu’une seule ligne de conduite à suivre. La Parole prophétique nous dit que la majorité des gens accepteront et se soumettront. Tout ce qui arrive actuellement n’est que l’ombre de ce qui se produira très bientôt.
Mais, au juste, à quelle liberté est-ce que le monde aspire ? Faire tout ce qu’il lui plaît ? Jésus a dit « En vérité, en vérité, je vous dis : Quiconque pratique le péché est esclave du péché. » (Jean 8:34) Et cet esclavage du péché le mène droit à la mort et au jugement.
C’est en Jésus que nous avons la vraie liberté. Jésus a dit : « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. » (Jean 8:36) Il nous libère du véritable esclavage dans lequel tous les hommes se trouvent : celui du péché.
Pour nous qui avons le pardon de nos péchés, par la foi en l’œuvre de Jésus Christ sur la croix, « Christ nous a placés dans la liberté en nous affranchissant » (Galates 5:1). Nous ne sommes plus esclaves du péché, mais libres. Nous pouvons dès lors dire non au péché, car il n’a plus aucun droit sur nous (cf. Romains 6:12-14, 18). Nous sommes ainsi appelés à tenir ferme, n’étant pas « de nouveau retenus sous un joug de servitude. » (Galates 5:1)
Ainsi, parlons autour de nous de celui qui donne la vraie liberté, Jésus Christ. Et dans cette liberté dans laquelle il nous a placés, servons-le de tout cœur.
Le Seigneur vient !